CPGE économiques


                    

 

Quelques questions courantes...

Pourquoi une prépa ECG ?

L'ECG est-elle faite pour moi ?

Quels types de cours puis-je attendre ?

Que dois-je avoir fait au lycée pour avoir une chance d'être admis ?

Combien me coûteront mes études en ECG et après ?

 

 

La prépa, ça fait peur ... ou envie ?

« Trop de travail », « une compétition sans pitié », « plus de vie sociale », « un formatage des cerveaux »… autant de clichés régulièrement repris et colportés sur les « classes prépas ».

Que certaines prépas induisent encore un enseignement ultra-compétitif, fondé sur la disqualification des « plus faibles », c’est possible. Mais il n'en a jamais été question au CIV, et il s’agit de clichés dépassés (et parfois entretenus…), qui ne correspondent pas à la réalité commune des prépas.

Au contraire, la prépa au CIV offre un environnement bienveillant et attentif, pour permettre la réalisation de soi au sein d’un collectif solidaire. Il s’agit en effet de travailler, mais plutôt comme un musicien passionné qui travaillerait son instrument auprès de professeurs également motivés.

 

Pour les prépas en général, selon une étude de l'EDHEC NewGen Talent Centre, parue en 2019,

                94 % des étudiant.e.s passé.e.s par une prépa en recommandent l'expérience, qu'ils et elles jugent avant tout "enrichissante", "passionnante", "heureuse" (source ici) 

 

Pour le CIV spécifiquement :

              Témoignage d'Ayoub, ancien élève : « Les deux années passées au CIV ont été une expérience inoubliable, que ce soit sur le plan scolaire ou humain. […] Les enseignants ont des valeurs humanistes et cherchent à ce que les élèves donnent le meilleur d’eux-mêmes quel que soit leur niveau en arrivant le premier jour. Ils ne sont pas là pour dispenser un cours magistral et corriger des copies : ce sont de véritables partenaires qui guident les élèves dans leur amélioration continue au cours des deux années de préparation. »

La vie sociale, au sein de la prépa, y est riche : nombre de vos camarades deviendront et resteront vos ami.es pour la vie. Voir les nombreux témoignages, constants depuis 20 ans, sur le site du CIV.

              Flora : « Mes amis d’école (j’ai intégré l’EM Lyon en 2003) qui ont fait les « grandes » prépas parisiennes ou lyonnaises ou toulousaines parlent de cette période avec douleur, comme deux ans de sacrifices. Je me souviens plutôt d’une équipe pédagogique aux petits soins, d’un cadre de travail idéal et de camarades solidaires. J’ai par ailleurs gardé contact avec bon nombre d’entre eux. Nos parcours ont varié mais nous partageons ces deux années. J’ai même récemment rencontré par hasard à Paris un CIVien plus jeune de 2 ans, que je n’avais donc pas croisé. Nous avons très vite échangé nos nombreuses anecdotes.»

              Corentin : « L’internat du CIV, théâtre légitime des soirées studieuses, est hanté par l’écho des nombreux fous rires, des parties de foot improvisées, des discussions nocturnes qui s’éternisent et des doutes surmontés. Il pue l’amitié et la complicité, c’est un lieu de vie et non pas de survie comme on l’entend parfois dans les autres prépas. […] J’y ai trouvé une grande famille. »

               Kenza : « Étant maintenant en école, je vois clairement la différence entre mon expérience en prépa et celle de mes camarades qui, pour beaucoup, sortent de grandes prépas parisiennes. Le fait que tout le monde soit en internat aide beaucoup à serrer les liens entre les élèves et instaure un climat très propice à l'entraide

 

Quant au « formatage », Il suffit de parcourir le travail de la sociologue Muriel Darmon, qui a étudié plusieurs classes prépas en France (Les Classes préparatoires. La fabrique d'une jeunesse dominante, éd. La Découverte, 2013) :

                « Le mot formatage évoque une homogénéisation, alors que la force des classes préparatoires est, justement, de développer une attention particulière à chacun […] »

Entretien de M. Darmon au Monde, le 18 septembre 2013.

                   Ayoub : « les professeurs ne chercheront jamais à voir des élèves réécrire bêtement le cours sur une copie ou retranscrire une structure passe-partout. Au CIV on apprend principalement à penser par soi-même, ce qui fait aussi la différence lors des concours.  »

Plus de témoignages sur le site du CIV et en intégralité ci-dessous.

 

L’exigence, il est vrai, est de mise, mais elle n’exclut nullement la bienveillance, à laquelle nous sommes très attachés, qui nous pousse en effet à essayer de suivre chacun(e) des étudiant(e)s qui choisit le CIV.

Il serait donc dommage de vous priver de cette formation qui conjugue l’excellence et la formation humaine, au motif que d’autres structures (les « Bachelors » par exemple, vous semblent plus accessibles – et ne se privent pas de « communiquer » sur le sujet…). Si vous êtes un tant soit peu motivé(e), curieux et sérieux/se (même sans être le ou la premier(e) de votre classe !), une prépa au CIV vous permettra pleinement de vous réaliser.

 

 

Témoignages de quelques anciens

  

 

 Corentin (ESCP)

« J’ai intégré en 2013 la prépa ECE du CIV que j’avais découverte à l’occasion de la journée porte ouverte. Je voulais choisir une prépa publique et qui rompe avec l’idée assez rigide que je me faisais des classes préparatoires et le CIV m’a convaincu par son environnement assez extraordinaire.  

 Ces deux années se sont enfuies à toute vitesse.

 La formation ECE du CIV permet de conjuguer des cours de grande qualité avec un corps enseignant très humain. Les professeurs sont très pédagogues et à l’écoute. La taille humaine des promotions permet d’avoir un réel accompagnement personnalisé, loin du bétail de certaines institutions privées. L’importance accordée à l’épanouissement personnel est une grande qualité de la prépa du CIV car elle permet de se construire un équilibre. La disponibilité des professeurs, jamais avares de conseils, est un atout de taille pour atteindre les objectifs propres à chacun. Les échanges sont constructifs et stimulent la confiance en soi, notion clé dans un environnement préparationnaire où il s’agit de se démarquer.

Mais surtout, contre la tentation d’un court terme orienté vers la seule échéance des concours, les professeurs donnent les armes nécessaires pour s’épanouir dans la prise de recul : ce n’est pas un hasard si beaucoup de civiens excellent à l’entretien de personnalité.

Stimulées par un cadre de travail qui respire la sérénité, ces deux années ont été très excitantes intellectuellement parlant.

 Un des grands atouts de cette prépa est sa solidarité, valeur souvent parent pauvre d’un environnement préparationnaire généralement jugé égoïste. Au CIV, la compétition, bien que présente, n’y est pas fratricide et ne se fait jamais au détriment de l’entraide. Cette solidarité m’a été salvatrice pour ne pas sombrer dans les matières où j’étais en difficulté mais aussi pour apprendre le goût d’une remise en question perpétuelle, d’une émulation positive.

 L’équilibre a été la clé de mes deux années civiennes. Grace à la qualité du campus, atout inestimable, j’ai pu jongler entre le travail et l’évasion. J’ai fait beaucoup de sport pour ne pas bousculer mes habitudes et prendre de nombreuses pauses primordiales dans le marathon préparationnaire.

L’hébergement du CIV, théâtre légitime des soirées studieuses, est hanté par l’écho des nombreux fous rires, des parties de foot improvisées, des discussions nocturnes qui s’éternisent et des doutes surmontés. Il pue l’amitié et la complicité, c’est un lieu de vie et non pas de survie comme on l’entend parfois dans les autres prépas. On y tisse des liens inestimables et d’une sincérité que l’on peine à retrouver en école de commerce. J’y ai trouvé une grande famille.

 C’est pour cela que je continue de penser que l’intérêt d’une prépa ne se juge pas uniquement sur une vulgaire note au concours. Cette période de notre vie est primordiale pour continuer de se construire une identité intellectuelle et personnelle et le CIV est une des rares prépas à en faire un objectif à part entière. Pour avoir parlé avec beaucoup d’anciens élèves de prépas parisiennes, je sais que je n’ai pas du tout vécu la même aventure qu’eux. Mes deux années regorgent d’amitiés et d’anecdotes.

 C’est pourquoi le CIV aura toujours pour moi une saveur particulière, comme un goût sucré, une parenthèse singulière hors du temps. Mais c’est aussi un pincement au cœur : celui du bon vieux temps. Cette prépa enrichit le parcours de chacun, c’est un choix que personne ne regrette. »

Si vous souhaitez contacter Corentin, écrivez-lui (en corrigeant l'adresse) : : corentin.jaouen at sciencespo.fr

 

 

Ayoub (ESSEC)

« En terminale ES, alors que l’idée d’aller en classe préparatoire ne me plaisait pas du tout en raison des nombreux retours négatifs que j’en avais, une simple discussion avec ma professeure d’anglais a suffi pour tout changer : “Est-ce que tu as regardé le CIV ? Ma fille y était et elle a beaucoup aimé !” Le CIV ? Jamais entendu parler … Quelqu’un qui a apprécié ses deux années de classe préparatoire ? Intéressant… Quelques pages internet et une discussion Facebook avec un préparationnaire plus tard et voilà le CIV en tête de mes voeux post-bac. Sans m’en rendre compte je venais de m’engager dans une aventure formidable.

 Les deux années passées au CIV ont été une expérience inoubliable, que ce soit sur le plan scolaire ou humain.

 En arrivant au CIV, j’ai découvert un corps professoral d’excellente qualité, quelle que soit la matière concernée. Les enseignants ont des valeurs humanistes et cherchent à ce que les élèves donnent le meilleur d’eux-mêmes quel que soit leur niveau en arrivant le premier jour. Ils ne sont pas là pour dispenser un cours magistral et corriger des copies : ce sont de véritables partenaires qui guident les élèves dans leur amélioration continue au cours des deux années de préparation. 

Par ailleurs contrairement à la plupart des autres classes préparatoires, les professeurs ne chercheront jamais à voir des élèves réécrire bêtement le cours sur une copie ou retranscrire une structure passe-partout. Au CIV on apprend principalement à penser par soi-même, ce qui fait aussi la différence lors des concours. 

 Pour réussir en classe préparatoire il faut savoir s’organiser pour faire face à la charge de travail. Mais cette charge n’est en rien insurmontable au CIV surtout lorsqu’on y découvre que l’aventure y est collective et non individuelle.

Je n’ai jamais vu quelqu’un travailler seul, quelle que soit la matière étudiée, et c’est ce qui la force du CIV : la réussite se construit avec les autres. Au CIV, c’est avec les autres que j’ai appris, avec les autres que j’ai ri, avec les autres que j’ai surmonté les moments les plus difficiles et avec les autres que j’ai réussi. En faisant face à un même défi avec mes camarades, au-delà des études j’ai gagné des amis qui aujourd’hui constituent une grande partie de mon cercle le plus proche.

L’hébergement au CIV est sans doute l’élément qui rend toute cette magie possible. C’est en effet un lieu où la vie ne s’arrête pas et où les portes des uns et des autres sont toujours ouvertes. Les murs s’y font l’écho des états d’âme de leurs habitants. Ils sont tantôt silencieux lorsque tout le monde travaille, tantôt loquaces ou rieurs pendant les pauses. L’internat est aussi le lieu où les parties de football entre générations voient le jour et d’où s’envolent les contingents de joggeurs vers la forêt.

 Une chose est sûre, quand j’y repense, ces deux années au CIV ont été épanouissantes et si c’était à refaire ce serait avec les yeux fermés. »

Pour contacter Ayoub : ayoub.guezzoul at essec.edu


 Flora (EM Lyon)

« Faire une prépa, l’idée ne s’est pas imposée tout de suite. A vrai dire, au premier trimestre de Terminale ES, je ne connaissais même pas l’existence de ces études.

Mon professeur d’éco m’a convaincue de présenter mon dossier. S’en est suivi une (rapide) réflexion sur la possibilité de faire cette période à Paris. J’ai choisi de rester dans ma région. Prépa CPGE, option ES, c’est donc au CIV que j’allais passer deux années scolaires.

Ma mémoire me joue souvent des tours : elle élimine d’elle-même les souvenirs désagréables. S’il me reste tant de traces de ces deux années au CIV, c’est parce qu’elles ont été positives.

Tout n’a évidemment pas été rose mais j’ai appris sur bien plus d’aspects que le côté uniquement scolaire.

15 ans plus tard (ouch, 15 ans…) je travaille dans le monde des ressources humaines et je mesure tous les jours à quel point les études façonnent les jeunes que je recrute. Faire une prépa, c’est apprendre à apprendre, savoir gérer ses priorités, se concentrer, s’exprimer avec précision à l’oral comme à l’écrit. […]

Mes amis d’école (j’ai intégré l’EM Lyon en 2003) qui ont fait les « grandes » prépas parisiennes ou lyonnaises ou toulousaines parlent de cette période avec douleur, comme deux ans de sacrifices. Je me souviens plutôt d’une équipe pédagogique aux petits soins, d’un cadre de travail idéal et de camarades solidaires.

J’ai par ailleurs gardé contact avec bon nombre d’entre eux. Nos parcours ont varié mais nous partageons ces deux années. J’ai même récemment rencontré par hasard à Paris un CIVien plus jeune de 2 ans, que je n’avais donc pas croisé. Nous avons très vite échangé nos nombreuses anecdotes.

On ne s’en rend pas forcément compte au moment où on le vit mais quand on prend un peu de recul, la prépa au CIV vous met dans les meilleures conditions pour réussir. Pas uniquement réussir votre concours, même si c’est évidemment l’objectif à court terme. Mais aussi réussir à construire le futur adulte qu’on va très vite vous demander d’être. »

 

Plus de témoignages sur le site du CIV : Témoignages ECE et le groupe linkedin des anciens du CIV.

Vous pouvez également contacter :

Laura Tran (EM Lyon) laura.tran at live.fr

Maxime Grillo (Neoma) maxime.grillo at hotmail.fr